Chronique nouvelle sur fond de parodie d’une chanson d’Alain Bashung.
Une chronique pour ceux qui rêvent d’aimer, mais hésitent à s’abandonner.
Je croyais que ce serait la peur d’être seul.
Mais ce n’est pas ça, le vrai vertige.
Le vrai vertige, c’est ce moment rare,
où quelqu’un de bien s’approche.
Quelqu’un de sincère.
Quelqu’un qui n’a pas besoin de briller plus fort que toi.
Quelqu’un qui tend la main…
Et là, c’est toi qui trembles.
« J’ai peur que tu veuilles / Et j’ai peur que tu partes »
On s’imagine que l’amour va nous sauver.
Mais parfois, c’est lui qui nous bouscule le plus.
Pas parce qu’il est dur.
Mais parce qu’il est réel.
Et le réel, ça oblige à se montrer.
À être présent.
À être stable, imparfait, incarné.
Je vois souvent ça chez nos adhérents.
Ils nous disent :
“Je suis prêt.”
Et puis, au moment de la vraie rencontre…
Ils reculent d’un pas.
“Je ne ressens pas le déclic.”
“Je ne sais pas trop ce que je veux.”
“Je crois qu’il/elle est trop bien pour moi.”
Ce n’est pas du désintérêt.
C’est une forme de panique douce.
Le vertige de l’amour, quand il n’y a plus d’excuse pour fuir.
« J’avance à reculons dans les couloirs de l’amour »
Chez Rencontrer Voir, on a appris à respecter ça.
Parce qu’il faut parfois désapprendre à séduire
pour apprendre à aimer.
Il faut réapprendre à faire confiance,
à baisser les armes,
à se laisser toucher.
Et oui, c’est un vertige.
Mais c’est le bon.
Alors si tu es là, au bord…
Que tu sens que cette personne pourrait être la bonne
et que tout en toi te pousse à fuir…
Ne pars pas.
Pose-toi.
Parle. Respire. Écoute.
Et ose un pas de plus. Un pas de toi.
💛 Rencontrer Voir, c’est aussi apprendre à ne plus fuir le bonheur quand il frappe doucement.
Prochaine chronique : “Juste quelqu’un de bien.”ENZO ENZO
Parce que finalement, c’est ce que beaucoup recherchent.
Pas le grand spectacle.
Pas le profil parfait.
Juste quelqu’un de vrai.
Juste quelqu’un de bien.
0 commentaires