Chronique nouvelle sur fond de parodie d’une chanson d’Alain Bashung.
Chronique inspirée, à mi-chemin entre l’intime, la réflexion sociétale et mon engagement et celui de Rencontrer Voir.
Madame rêve
De visages qu’on ne scroll pas
De voix tendres, qui prennent le temps
D’un regard qui ne ment pas
D’un amour qu’on vit vraiment
Ils rêvent tous d’une belle histoire.
Pas une de plus, pas une distraction.
Mais celle qui viendrait poser quelque chose de vrai, d’ancré, de profond.
Chez Rencontrer Voir, on entend ce rêve. On le reçoit avec respect.
Nos clients ne veulent plus du “vite fait, mal fait”.
Ils ont compris, souvent à la dure, que ce n’est pas la quantité de rencontres qui rend heureux…
Mais la rencontre. Celle qui bouleverse. Celle qui fait du bien.
Et pourtant, parfois, le doute revient.
Le bruit. Le scroll. Le besoin d’être vu, validé, désiré.
« Madame rêve d’atomiseurs / Et de cylindres si longs » Bashung
Ce vers m’a percuté.
Parce qu’il dit tout : l’imaginaire, le fantasme… mais aussi l’artifice.
Ce monde de désir où l’on ne touche plus rien de réel.
Madame rêve encore
Mais ce soir, elle y croit plus fort
Qu’un matchmaker l’attend dehors
Pour la guider jusqu’au décor
D’une visio qui bouleverse
D’un “bonjour” qui perce
Et pourtant, au fond d’eux, nos clients savent.
Ils savent que l’amour se construit. Qu’il prend du temps.
Ils savent qu’il faut oser s’arrêter pour écouter. Pour ressentir.
Mais voilà : deux êtres vivent en chacun de nous.
« Madame rêve, d’artifices / De formes oblongues / Et de totems qui la rongent » Bashung
Le premier est posé, lucide, capable de patience.
L’autre est blessé, fragile, pris dans le rythme du monde.
Madame rêve
Qu’on l’écoute entre les lignes
Qu’on ne réduise pas sa vie
À trois critères ou une photo divine
Mais à l’élan qu’elle a enfoui
Et nous, dans ce paradoxe, on n’accuse pas.
On accueille. On comprend.
On propose autre chose.
Pas une promesse en l’air.
Mais une autre manière de se rencontrer. De se dire.
Avec du temps.
De la présence. De l’écoute.
« Madame rêve en mosaïques / À facettes, à filtres, à pixels… »
(librement inspiré de l’esprit Bashung)
Et quand la visio s’allume
C’est pas du rêve, c’est de l’écume
C’est une voix qui dit doucement :
« Vous êtes là, et c’est important »
Parce que l’amour vrai ne commence pas avec un profil.
Mais avec un silence respecté. Une écoute réelle.
Un frisson discret au creux d’une visio.
Madame rêve toujours
Mais maintenant, c’est son tour
De cueillir un vrai “bonjour”
Un rendez-vous, un vrai détour
Là où l’amour ose croire
Là où commence… Rencontrer Voir
💛 Rencontrer Voir, là où la magie commence avant même de se voir.
Et puisque certaines chansons réveillent en nous plus qu’un souvenir…
Je peux déjà vous dire que la prochaine chronique naîtra d’un autre texte culte.
“La nuit je mens”, chantait Bashung.
Et si, derrière cette phrase, se cachait bien plus qu’un aveu ?
Un masque. Une fuite. Un mécanisme de défense.
Un écho intime à ce que beaucoup vivent… quand ils disent vouloir aimer,
mais préfèrent rester protégés.
👉 À suivre…
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