#39 : Les Superpouvoirs de RencontrerVoir : Coachs, Matchmakers et… Vous !

#39 : Les Superpouvoirs de RencontrerVoir : Coachs, Matchmakers et… Vous !

Chez RencontrerVoir, on croit profondément aux vrais super-héros du quotidien, ces personnes exceptionnelles qui changent des vies sans porter de cape.

Nos héros à nous ? Nos coachs bienveillants, nos matchmakers intuitifs, nos franchisés passionnés, mais surtout VOUS, nos adhérents, qui avez osé chercher l’amour différemment, loin des algorithmes froids et des faux profils.

Mais quels sont donc ces fameux superpouvoirs qui font toute la différence ?

Nous les avons identifiés, cultivés, admirés. Peut-être vous y reconnaîtrez-vous ?

1. Le pouvoir de la confiance → « Au début, j’avais peur, mais dès le premier échange avec ma coach, je me suis sentie écoutée comme jamais auparavant. » – Sophie, 43 ans. → Créer une atmosphère rassurante où chaque mot est précieux, comme un secret bien gardé.

2. Le pouvoir du sourire → « Un éclat de rire partagé, et la glace était déjà brisée ! » – David, 50 ans. → L’humour subtil qui rend magique une première rencontre.

3. Le pouvoir de la différence → « Ici, je ne me suis jamais sentie obligée de correspondre à une case. » – Nathalie, 55 ans. → La singularité comme richesse, l’intuition humaine comme unique algorithme.

4. Le pouvoir de la collaboration → « J’ai adoré participer à la création de mon propre profil : j’y croyais pas, et puis je me suis laissé emabrquer dans le bus de l’objectivité, je me suis enfin reconnue ! » – Marc, 48 ans. → Vous êtes acteur de votre rencontre, pas simple spectateur.

5. Le pouvoir de raconter → « Chaque rencontre que j’ai vécue ressemblait à un voyage inattendu, plein d’émotions. C’est vraiment différent.» – Claire, 52 ans. → Transformer les rencontres en récits authentiques, loin des fiches impersonnelles.

6. Le pouvoir de la clarté → « Tout était clair dès le début. J’ai pu lâcher prise en toute sérénité. » – Patrick, 60 ans. → Une communication limpide, rassurante à chaque étape.

7. Le pouvoir de rassurer → « On a su accueillir mes peurs avec beaucoup de douceur, ça a tout changé. » – Isabelle, 47 ans. → Accepter les vulnérabilités comme point de départ d’une belle histoire.

8. Le pouvoir du respect → « Personne ne m’a pressé, et ça m’a permis d’avancer à mon rythme. » – Pierre, 56 ans. → Respecter le temps et l’espace émotionnel de chacun.

9. Le pouvoir de proposer sans imposer → « Je n’ai jamais eu le sentiment d’être forcée dans mes choix. Même quand ma coach me proposait un rendez-vous avec un homme qu’elle avait sélectionné, elle prenait le temps de m’expliquer qui il était, ce qu’il avait d’original ou d’interessant » – Emma, 51 ans. → Prioriser le sens profond des rencontres plutôt que la quantité.

10. Le pouvoir du temps → « On m’a appris à ne plus courir après le temps, malgré mes envies initiales d’aller vite et ça a changé ma vision des rencontres. » – Luc, 45 ans. → Valoriser chaque moment, comme une cuisson lente qui révèle toutes les saveurs.

11. Le pouvoir de la rigueur → « Mon matchmaker connaissait chaque détail, chaque préférence… j’étais impressionnée. » – Julie, 53 ans. → Honorer chaque promesse grâce à un suivi précis et attentif.

12. Le pouvoir de la générosité → « J’ai reçu bien plus qu’un rendez-vous : un véritable soutien humain. » – Philippe, 57 ans. → Donner de soi, sincèrement, au-delà du simple échange.

13. Le pouvoir de l’engagement → « J’ai ressenti une vraie passion chez mon matchmaker. Il était investi comme si c’était sa propre histoire. » – Audrey, 42 ans. → Chaque rencontre réussie est une victoire commune, portée avec cœur.

14. Le pouvoir de la parole tenue → « Tout ce qu’on m’a promis a été respecté à la lettre. Je me suis sentie en sécurité. » – Alain, 61 ans. → Une parole fiable, solide, authentique.

Votre Superpouvoir, c’est quoi ?

Chez RencontrerVoir, ces superpouvoirs, nous les cherchons chez nos équipes autant que chez VOUS, nos adhérents courageux.

Vous aussi possédez ces pouvoirs extraordinaires : celui d’oser croire en l’amour vrai, d’accueillir l’autre tel qu’il est, et d’accepter de dévoiler votre authenticité.

Votre mission ? Répandez cette idée que chacun possède le superpouvoir d’aimer profondément et sincèrement.

Alors, prêt à révéler vos superpouvoirs avec nous ?

Enfilez votre cape invisible (ou une vraie cape, pourquoi pas ?) et rejoignez-nous dans cette aventure humaine incroyable qu’est RencontrerVoir.

Car ensemble, nous écrivons les plus belles histoires, celles qui durent toute une vie.

#37 : Les dessous chics d’un Tandem qui vacille

#37 : Les dessous chics d’un Tandem qui vacille

Chronique nouvelle sur fond de parodie non pas d’une, mais de deux chansons et textes de Serge Gainsbourg

Chronique pour ceux qui veulent être aimés sans costume, ni stratégie.


Il arrive souvent que les gens nous disent :

“Je veux une relation sincère. Une vraie. Je veux lâcher prise.”

Et pourtant…
En visio, en rendez-vous, quelque chose résiste.
Une tension. Une retenue.
Comme un décor qui ne veut pas tomber.

Ils sourient. Ils cochent les cases.
Ils ont les mots. Le ton.
Mais derrière la mise en scène, on sent la peur.


« Les armes sont les mots / Mais jamais ceux qu’il faut »
 Les dessous chics


Il y a ce besoin d’être perçu comme “maîtrisé”.
Comme s’il fallait garder le contrôle pour être aimé.
Ne pas trop en dire. Ne pas montrer qu’on doute.
Surtout ne pas trembler.

Alors on met les gants. On soigne les répliques.
On montre la version “présentable” de soi.
Et l’amour ? Il passe à côté. Ou s’essouffle.


Et puis parfois… il y a cette autre scène.

Une passion, un lien fort, presque brutal.
Une personne qui nous retourne. Qui nous obsède.
Mais qui nous fait mal.

« T’as l’cœur en tandem / Et la peau qui démange »
 Tandem

C’est pas de l’amour.
C’est de l’adrénaline relationnelle.
Un besoin de secousse.
Une confusion entre intensité et sincérité.


Alors on alterne.

Entre les dessous chics — cette mise en scène lisse et bien élevée…Et qui fait rêver tellement tous les hommes
…et le tandem déséquilibré — qui attire comme un vertige, mais nous laisse toujours sur le bitume.


Et nous, à Rencontrer Voir, on le voit ça.

On voit des gens brillants, beaux, touchants,
coincés entre ces deux pôles :

  • Le besoin d’être aimés sans risque, sous contrôle.

  • Et le désir inconscient du chaos qu’ils connaissent déjà, parce qu’au moins, il est familier.


« On s’accroche, on s’abîme, mais on revient quand même »
(inspiré de Tandem — vécu de beaucoup)


Mais si on arrêtait ?
Si on osait dire, vraiment :

“Je suis là. Voilà ce que je suis. Pas le costume. Pas le rôle. Juste moi.”

Et si on arrêtait de courir après le choc, toujours, pour accueillir le lien ?
Pas la tempête. Pas le théâtre. Mais le calme juste. L’évidence douce. Une brise légère.


💛 Rencontrer Voir, c’est ça.
Pas un tandem qui s’emballe.
Pas un dessous chic pour masquer.
Mais une table, une visio, un regard.Un matchmaker qui écoute…Corinne, Nathalie, tous les autres et peut être toi demain, si tu nous rejoins.

Où on peut enfin tomber le masque… sans tomber du tout.


Prochaine chronique : “Et si l’amour, c’était d’abord un endroit où l’on peut rester ?”
Parce qu’après les vertiges, les masques et les jeux,
ce qu’on cherche vraiment…
ce n’est pas de conquérir.
C’est de tenir. Sans se perdre. Sans fuir.

#36: Je veux… juste quelqu’un de bien.

#36: Je veux… juste quelqu’un de bien.

Chronique nouvelle sur fond de parodie d’une chanson d’Enzo Enzo.

Chronique pour ceux qui n’attendent plus le conte de fées, mais une vérité douce.


J’ai eu des rendez-vous.
Des histoires. Des espoirs.
Des flirts qui brillent. Des silences qui blessent.
Des “je t’aime” trop vite. Des “je ne sais pas” trop tard.

Et puis un jour, j’ai arrêté de chercher le parfait.
J’ai juste eu envie de quelqu’un… de bien.


« J’veux quelqu’un de bien, quelqu’un qui sache m’aimer / Me respecter, me parler, me garder »


Pas quelqu’un qui coche toutes les cases.
Pas quelqu’un qui m’en met plein la vue.
Pas quelqu’un à montrer, mais quelqu’un à RENCONTRER.
Quelqu’un avec qui c’est simple. Vrai.
Quelqu’un qui m’accueille tel que je suis — sans avoir à me justifier, me tordre ou me vendre.


C’est fou, non ?
Qu’aujourd’hui, vouloir simplement quelqu’un de bien,
ça passe pour un rêve naïf, ou un vœu irréaliste.

On devrait s’aimer comme on respire.
Mais « on » nous apprend à aimer comme on consomme :
vite, plus que vite, fort, enfin pas si fort que ca, et surtout  sans engagement.

Combien j’en entend qui me dise, je ne veux pas me prendre la t^te,je ne veux surtout pas que cettepersonne me prenne la tête….il, elle devra prendre quoi, alors?

Quand on aime, on prend tout, le bon, le gourmand, le sucré, le salé, l’épicé et quelquefois aussi le reste, non?


Chez Rencontrer Voir, on écoute beaucoup de cœurs fatigués.
Fatigués des jeux.
Des faux profils.
Des likes sans lendemain.
Des “tu vas bien ?” qui n’attendent pas de réponse.

Et dans tous ces récits, il y a un mot qui revient.
Le mot “bien”.

Et au sein de nos valeurs, la Bienveillance est ma, est notre boussole, notre étoile polaire!

“Je veux juste quelqu’un de bien.”

Pas riche.
Pas parfait.
Pas tout le temps disponible.

Mais bien. Présent. Sincère. À sa place.
Un homme ou une femme qui ne joue pas,
mais qui avance, même doucement. Même avec des peurs.


Et si c’était ça, la révolution amoureuse ?
Pas trouver mieux.
Mais rencontrer… juste quelqu’un de bien.


💛 Chez Rencontrer Voir, on ne promet pas la lune.
Mais on fait tout pour que vous croisiez cette lumière douce,
celle d’une vraie rencontre, d’une relation qui tient debout dans la réalité.

#35: Vertige de l’amour… ou la peur de tomber quand on a enfin trouvé.

#35: Vertige de l’amour… ou la peur de tomber quand on a enfin trouvé.

Chronique nouvelle sur fond de parodie d’une chanson d’Alain Bashung.

Une chronique pour ceux qui rêvent d’aimer, mais hésitent à s’abandonner.


Je croyais que ce serait la peur d’être seul.
Mais ce n’est pas ça, le vrai vertige.
Le vrai vertige, c’est ce moment rare,
 quelqu’un de bien s’approche.

Quelqu’un de sincère.
Quelqu’un qui n’a pas besoin de briller plus fort que toi.
Quelqu’un qui tend la main…
Et là, c’est toi qui trembles.


« J’ai peur que tu veuilles / Et j’ai peur que tu partes »


On s’imagine que l’amour va nous sauver.
Mais parfois, c’est lui qui nous bouscule le plus.
Pas parce qu’il est dur.
Mais parce qu’il est réel.

Et le réel, ça oblige à se montrer.
À être présent.
À être stable, imparfait, incarné.


Je vois souvent ça chez nos adhérents.

Ils nous disent :

“Je suis prêt.”
Et puis, au moment de la vraie rencontre…
Ils reculent d’un pas.

“Je ne ressens pas le déclic.”
“Je ne sais pas trop ce que je veux.”
“Je crois qu’il/elle est trop bien pour moi.”

Ce n’est pas du désintérêt.
C’est une forme de panique douce.
Le vertige de l’amour, quand il n’y a plus d’excuse pour fuir.


« J’avance à reculons dans les couloirs de l’amour »


Chez Rencontrer Voir, on a appris à respecter ça.

Parce qu’il faut parfois désapprendre à séduire
pour apprendre à aimer.
Il faut réapprendre à faire confiance,
à baisser les armes,
à se laisser toucher.

Et oui, c’est un vertige.
Mais c’est le bon.


Alors si tu es là, au bord…
Que tu sens que cette personne pourrait être la bonne
et que tout en toi te pousse à fuir…

Ne pars pas.
Pose-toi.
Parle. Respire. Écoute.

Et ose un pas de plus. Un pas de toi.


💛 Rencontrer Voir, c’est aussi apprendre à ne plus fuir le bonheur quand il frappe doucement.


Prochaine chronique : “Juste quelqu’un de bien.”ENZO ENZO
Parce que finalement, c’est ce que beaucoup recherchent.
Pas le grand spectacle.
Pas le profil parfait.
Juste quelqu’un de vrai.
Juste quelqu’un de bien.

#34: La nuit je mens… et le jour, je fais semblant d’oublier.

#34: La nuit je mens… et le jour, je fais semblant d’oublier.

Chronique nouvelle sur fond de parodie d’une chanson d’Alain Bashung.

Chronique pour ceux qui veulent aimer, mais ont encore peur d’y croire.


« La nuit je mens… »
Cette chanson de Bashung résonne depuis longtemps chez moi.
Pas seulement parce qu’elle est belle.
Mais parce qu’elle parle de nous.
De ce que l’on tait. De ce que l’on cache. De ce qu’on ne sait même pas qu’on fuit.


Dialogue intérieur

Moi du jour :
Je veux rencontrer quelqu’un. Quelqu’un de bien. Quelqu’un de vrai.
Je suis prêt. J’ai fait le travail. Je suis aligné.

Moi de la nuit :
Vraiment ?
Alors pourquoi tu recules à chaque fois qu’une personne bien s’approche ?
Pourquoi tu choisis l’indisponible, le lointain, le flou ?

Moi du jour :
Mais je cherche la sincérité…

Moi de la nuit :
Non. Tu dis que tu la cherches.
Mais tu cours après les validations faciles, les « matchs » sans suite, les jeux de séduction sans enjeu.
Tu veux l’amour, mais tu ne veux pas qu’il t’engage.

Moi du jour :
Je veux quelqu’un qui me voie vraiment.

Moi de la nuit :
Alors arrête de jouer à celui que tu n’es pas. Retire ton masque!

Un récit sur l’amour, la peur, et cette voix intérieure qui nous freine.


Le jour, je dis que je suis prêt.
Je coche toutes les cases.
Je souris, je parle de sincérité, de relations durables.
Je dis que je veux aimer. Que je veux quelqu’un de vrai.

Mais la nuit…
La nuit, c’est une autre histoire.


La nuit, je mens.

Pas aux autres. À moi-même.

Je repense à cette visio j’ai fui.
À ce rendez-vous que j’ai annulé sans raison valable.
À cette personne qui m’a touché… et que j’ai écartée, “par prudence”.
Ou par peur.

Et même à l’explication à mon matchmaker, lors du débriefing, en lui expliquant que c’est vraiment une belle personne, mais je n’ai pas envie de lui faire de mal…Est ce vraiment vrai, ou est ce que la sincérité c’est à nouveau cachée?


La nuit, je regarde les profils, machinalement.
Je me dis que ce n’est pas grave, que je veux juste “voir”.
Mais au fond, je le sais : je nourris mon vide plus que mon cœur.

La nuit, je mens.
Je fais semblant de croire que c’est normal. Que c’est comme ça, aujourd’hui.
Qu’il faut matcher, matcher, matcher… jusqu’à tomber sur la perle. Je suis ceratin qu’elle va briller, qu’elel va me voir…
Mais ce que je veux vraiment, ce n’est pas une perle.
C’est une présence.


Et puis il y a ce moment.
Ce moment je m’assois.
j’éteins l’écran.
je me regarde vraiment.

Et je l’entends, cette voix.
Ma voix.

Tu veux aimer, mais tu veux pas qu’on te voie vraiment.
Tu dis que tu veux du vrai, mais tu portes encore un masque.
Tu veux un lien, mais tu t’échappes dès qu’il se tisse.”


Ce n’est pas de la mauvaise foi.
C’est de la peur.
La peur d’être abandonné à nouveau.
La peur d’être déçu.
Ou pire : la peur que ça marche, et de ne pas être à la hauteur.


Alors j’ai décidé d’arrêter.
Pas d’arrêter de rêver.
D’arrêter de mentir. Même doucement. Même gentiment.

J’ai décidé de me montrer.
Pas tout, pas tout de suite.
Mais assez pour qu’on me voie vraiment.


Et c’est que j’ai compris ce que voulait dire :
Rencontrer Voir”.

Ce n’est pas juste une agence.
C’est un endroit je peux me poser.
Un endroit je n’ai plus besoin de jouer à celui qui sait.
je peux dire “j’ai peur”, “je doute”, “je veux y croire, mais j’ai besoin d’aide”.

Un endroit ma nuit peut rencontrer ma lumière.


💛 Et si vous aussi, vous avez parfois peur d’aimer,
vous êtes peut-être exactement à la bonne place.


Prochaine chronique, pour ceux qui affectionne Bashung :
Vertige de l’amour”
Quand ce n’est pas l’absence d’amour qui nous fait peur…
Mais sa présence réelle, brute, bouleversante.
À très bientôt.

#33: Madame rêve… Monsieur aussi. Et si on arrêtait de confondre le rêve avec l’illusion ?

#33: Madame rêve… Monsieur aussi. Et si on arrêtait de confondre le rêve avec l’illusion ?

Chronique nouvelle sur fond de parodie d’une chanson d’Alain Bashung.

Chronique inspirée, à mi-chemin entre l’intime, la réflexion sociétale et mon engagement et celui de Rencontrer Voir.

Madame rêve
De visages qu’on ne scroll pas
De voix tendres, qui prennent le temps
D’un regard qui ne ment pas
D’un amour qu’on vit vraiment

Ils rêvent tous d’une belle histoire.
Pas une de plus, pas une distraction.
Mais celle qui viendrait poser quelque chose de vrai, d’ancré, de profond.

Chez Rencontrer Voir, on entend ce rêve. On le reçoit avec respect.
Nos clients ne veulent plus du “vite fait, mal fait”.
Ils ont compris, souvent à la dure, que ce n’est pas la quantité de rencontres qui rend heureux…
Mais la rencontre. Celle qui bouleverse. Celle qui fait du bien.

Et pourtant, parfois, le doute revient.
Le bruit. Le scroll. Le besoin d’être vu, validé, désiré.

« Madame rêve d’atomiseurs / Et de cylindres si longs » Bashung

Ce vers m’a percuté.
Parce qu’il dit tout : l’imaginaire, le fantasme… mais aussi l’artifice.
Ce monde de désir où l’on ne touche plus rien de réel.

Madame rêve encore
Mais ce soir, elle y croit plus fort
Qu’un matchmaker l’attend dehors
Pour la guider jusqu’au décor
D’une visio qui bouleverse
D’un “bonjour” qui perce

Et pourtant, au fond d’eux, nos clients savent.
Ils savent que l’amour se construit. Qu’il prend du temps.
Ils savent qu’il faut oser s’arrêter pour écouter. Pour ressentir.

Mais voilà : deux êtres vivent en chacun de nous.

« Madame rêve, d’artifices / De formes oblongues / Et de totems qui la rongent » Bashung

Le premier est posé, lucide, capable de patience.
L’autre est blessé, fragile, pris dans le rythme du monde.

Madame rêve
Qu’on l’écoute entre les lignes
Qu’on ne réduise pas sa vie
À trois critères ou une photo divine
Mais à l’élan qu’elle a enfoui

Et nous, dans ce paradoxe, on n’accuse pas.
On accueille. On comprend.
On propose autre chose.

Pas une promesse en l’air.
Mais une autre manière de se rencontrer. De se dire.
Avec du temps. 

De la présence. De l’écoute.

« Madame rêve en mosaïques / À facettes, à filtres, à pixels… »
(librement inspiré de l’esprit Bashung)

Et quand la visio s’allume
C’est pas du rêve, c’est de l’écume
C’est une voix qui dit doucement :
« Vous êtes là, et c’est important »

Parce que l’amour vrai ne commence pas avec un profil.
Mais avec un silence respecté. Une écoute réelle.
Un frisson discret au creux d’une visio.

Madame rêve toujours
Mais maintenant, c’est son tour
De cueillir un vrai “bonjour”
Un rendez-vous, un vrai détour
Là où l’amour ose croire
Là où commence… Rencontrer Voir

💛 Rencontrer Voir, là où la magie commence avant même de se voir.

Et puisque certaines chansons réveillent en nous plus qu’un souvenir…
Je peux déjà vous dire que la prochaine chronique naîtra d’un autre texte culte.

“La nuit je mens”, chantait Bashung.
Et si, derrière cette phrase, se cachait bien plus qu’un aveu ?
Un masque. Une fuite. Un mécanisme de défense.
Un écho intime à ce que beaucoup vivent… quand ils disent vouloir aimer,
mais préfèrent rester protégés.

👉 À suivre…